1- Connaissances à 360° de la fiscalité : l’avocat fiscaliste n’a aucune lacune en droit des sociétés, en droit patrimonial, en comptabilité et en finance. Cela lui permet d’avoir une vision globale des enjeux fiscaux de ses clients.
La fiscalité et le droit vous intéressent ? Vous avez le sens de l’analyse et êtes rigoureux dans votre travail ? Le métier de fiscaliste est peut-être pour vous ! Découvrez tout sur ce métier : missions, formation, évolutions professionnelles, salaire…
L’avocat fiscaliste a pour mission de protéger l’intérêt de son client (particulier ou entreprise) en matière de stratégie et de conformité fiscale, ainsi que de gestion des litiges fiscaux.
C’est l’homme de la situation lorsqu’une entreprise a besoin d’être conseillée sur :
Cet expert en droit et en finance prend en compte tous les éléments à sa disposition pour anticiper les conséquences fiscales d’une action ou d’un projet sur son client.
Son objectif ? Aider les particuliers et les entreprises à organiser leurs finances de manière à atténuer leurs obligations, et in fine, payer moins d’impôts dans le respect de la loi.
L’avocat fiscaliste a ainsi un rôle de conseiller, d’analyste et de défenseur.
Il est nécessaire d’être titulaire d’un diplôme de niveau bac+5 et d’obtenir le CAPA (Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat) pour accéder à cet emploi. Après le baccalauréat, plusieurs formations en finance ou en droit sont possibles, dans les universités comme les écoles de commerce.
Les parcours en alternance facilitent l’insertion professionnelle et la maîtrise de la langue anglaise est hautement valorisée par les recruteurs.
Au fil de ses années d’activités, il peut choisir de se spécialiser dans un domaine précis de la fiscalité : internationale, immobilière, des sociétés, de la TVA, etc. Il peut également évoluer et prétendre à plusieurs postes d’encadrement et de direction, ou lancer sa propre structure.